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284 views • August 27, 2021

Covid-19: un autre virus à Wuhan - Afghanistan, Chine, Etats-Unis : 2e partie - CO2 et climat

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Des échantillons des premiers patients atteints du COVID à Wuhan fin 2019 contenaient également le virus Henipah génétiquement modifié, l'un des deux types de virus envoyés par un laboratoire canadien à l’institut de virologie chinois. Le Laboratoire national de microbiologie – NML – à Winnipeg est le seul laboratoire de niveau 4 du Canada. Il avait des liens avec l'Institut de virologie de Wuhan avant la pandémie, ce qui n’est pas une nouvelle. Cependant, des échantillons des premiers patients atteints du coronavirus à Wuhan montrent la présence du virus Henipah génétiquement modifié. Et le virus Henipah était l'un des deux types de virus que le laboratoire canadien a envoyés au laboratoire de Wuhan en mars 2019. La preuve a été découverte pour la première fois par le scientifique américain Steven Quay, ancien membre du corps professoral de l’école de médecine de l’Université de Stanford. Joe Wang, ancien responsable d’un programme de développement de vaccins contre le SRAS à Toronto, a déclaré qu'il était capable de reproduire les conclusions de Quay sur le virus Nipah. Wang a également dit que la manipulation génétique de l'agent pathogène servait probablement pour le développement d'un vaccin. Dans la précédente vidéo, je vous parlais de l’implication de la Chine aux côtés des Talibans, depuis le début des années 80 jusqu’à aujourd’hui. Regardons maintenant certaines des motivations qui ont pu amener un tel soutien. Un aspect majeur pour la Chine vient des abondantes ressources minérales du pays, qui valent entre 1 000 et 3 000 milliards de dollars. Le régime chinois est un acteur de premier plan dans la production d'éoliennes et de batteries pour véhicules électriques. Le régime rachète des champs miniers afin de dominer les chaînes d'approvisionnement mondiales. En 2007, la société minière d'État chinoise MCC a acheté les droits miniers pour 100 milliards de dollars à Mes Aynak, en Afghanistan, une zone proche des bastions des talibans. L'ancien secrétaire d'État Mike Pompeo a fait plusieurs commentaires sur la situation en Afghanistan. L'administration Trump a négocié pour la première fois un accord de retrait avec les talibans en février de l'année dernière. À partir de ce moment-là et jusqu'à l'entrée en fonction de Biden, les troupes américaines en Afghanistan avaient été réduites de 83 %, passant de 15 000 à 2 500. Mais les conditions n’étaient pas suffisamment favorables aux yeux de l'administration précédente pour descendre à zéro. Dans le cadre de l'accord, l'administration Trump a accepté de libérer 5 000 soldats talibans de prison. Alors que les États-Unis respectaient le pacte, les talibans ont rompu l'accord à plusieurs reprises. Cependant, chaque fois que cela se produisait, l'administration Trump répondait avec force. Mais après l'arrivée au pouvoir de Biden, les États-Unis n'ont pris aucune mesure lorsque les talibans ont continué à violer l'accord. Soit la nouvelle administration ne reconnaissait pas l'accord précédent, soit elle était trop faible pour réagir. Une autre différence clé concerne le traitement des équipements militaires. Pompeo a déclaré qu'il ne pouvait pas dire combien de fois il avait entendu Trump parler à l'armée que le retrait de l'équipement devait faire partie du processus de planification du retrait. A la consternation de tous, l'armée afghane s'est rendue aux talibans avec peu ou pas de résistance et, dans de nombreux cas, a remis les armes. Le coût de l'abandon d'armes et d'équipements américains, en quantités massives, est très élevé. Par ailleurs comme je l’ai dit hier, la Chine a déjà payé Al-Quaïda dans le passé pour obtenir des missiles américains non explosés. Il ne fait aucun doute qu’aujourd’hui encore, les technologies laissées par les américains finiront dans des mains chinoises. Un nouvel article scientifique révisé par des pairs met en évidence un préjugé dans la sélection des données du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'ONU pour soutenir le discours sur le changement climat
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